Dalida s’envole pour le Caire, ses valises pleines de rêves.

Enfant, elle voulait devenir actrice, pas chanteuse, et la vie lui offre enfin un grand rôle au cinéma, dans Le sixième jour de Youssef Chahine. A son retour à Paris, la critique est unanime : Dalida est la tragédienne que la France attendait. Pourtant, l’artiste met fin à ses jours quelques mois plus tard.

Avec ce récital piano et voix, parlé, chanté, Lionel Damei et Alain Klingler redonnent vie à l’âme de Dalida.

Tour à tour chanteuse réaliste, reine du disco, interprète de Gigi l’amoroso et d’Il venait d’avoir 18 ans, femme de lumière hantée par la finitude, elle a laissé une empreinte indélébile en France et à l’étranger. Adapté du livre du psychanalyste Joseph Agostini (Ed. Envolume), Dalida sur le divan est une plongée dans un destin : celui d’une femme résolument libre de vivre, d’aimer, de chanter et de disparaître au moment opportun.